« Nous nous expliquons mal cette mauvaise foi de l’employeur. Offrir une baisse au niveau du régime d’assurances collectives, c’est nonseulement précariser ses employé·es, mais c’est également augmenter leur niveau d’angoisse.Ce sont principalement les employé·es à temps partiel qui seront durement touchés par leschangements drastiques que veut imposer l’employeur, car ceux-ci ne disposeraient plus deprotection dentaire ou de protection de leur salaire s’ils tombent malades et que leur maladiese prolonge dans le temps. Beaucoup d’entre eux sont des parents monoparentaux, ousimplement des parents avec des enfants. C’est inacceptable ! » se désole Denis Beaudin,président du Conseil central des syndicats nationaux de l’Estrie – CSN.